Visite amicale au chateau (suite)

- Pensez-vous que ce soit grave ? Et est-ce que je vais perdre ma jambe ?

*sembla paniquer Gauvain.*

- Je crois que c'est trop sa mère héréditaire !

* dit Yvain qui ne semblait pas décidé à rassurer son ami. *

- Dites-moi, est-ce que ça pique, ça lance et ça repique derrière ?

- J'aurais plutôt dit que ça brûlait personnellement mais maintenant que vous le dites, je crois que c'est totu à fait comme vous venez de le dire en fait.

*reconnu Gauvain, se tordant de douleur.*

hj : Mais non, il en fait pas des caisses lol

hj : Non, c'est ça qui est bien !

- Mon ami, je crois que j'ai une bien sombre nouvelle à vous annoncer... Je crois vous allez trop perdre votre jambe en fait !

* répliqua Yvain le plus sérieusement du monde. *

- Mais c'est tout bonnement horrible ce que vous me dites là !

*hurla presque Gauvain, se relevant d'un bond.*

- Ah ben carrément ! Ca va être trop sa race de sa mère trop galère de marché...

* l'approuva Yvain qui ne savait visiblement pas ce que c'était que rassurer un ami. *

- Euh .... On pourrait savoir ce que vous foutez là tous les deux ?

*intervint alors Léodagan, ameuté par les hurlements de Gauvain.*

- Ah ben bravo l'intimité quoi !

* bougonna Yvain en constatant l'arrivée de son père. *

- J'avais pourtant presque cru que c'était ma chambre quoi ! Apparemment j'ai fait main mise quoi ! Trop gavé ! Pfffff !

- Vous avez fait quoi ?

*demanda Léodagan qui n'était pas certain d'avoir saisi le propos de son fils.*

- J'ai trop fait main mise quoi !

* répliqua Yvain. Et face à l'air plus que sceptique de son père, il ajouta... *

- C'est quoi le problème encore quoi ?!

- Oui alors déjà si vous continuez à vous payer ma tête comme ça, c'est moi qui vais faire main mise sur votre mouille vous viendrez pas pleurer !

*le mit en garde Léodagan.*

- Vous avez fait main mise, ça vous dérangerait d'expliquer ? Parce que je suis pas certain de cerner le projet là...

*ordonna-t-il ensuite àYvain.*

HJ : C'est bien, j'ai pas l'air conne à me marrer toute seule comme
une crétine dans le métro ! LOL

- Et ça y est encore les menaces de mauvais traitements ! J'suis pas bien sûr que ce soit la meilleure technique d'approche quand même ! La violence n'a jamais rien résolu Kbits ferais remarquer quand même quoi !

* plaida Yvain qui était une fois de plus totalement hors sujet *

- Et puis d'abord, c'est quoi que vous avez trop pas compris encore ?

- Oh ! Il va déjà commencer par parler meilleur le moucheron si il veut pas finir cramer avec sa bougie, son copain et le mobilier. Ensuite, il faudrait peut-être songer à apprendre le français, parce que je vous assure, y a des fois, je me demande si je vis pas chez les Burgondes entre votre mère, votre soeur et vous, je carre jamais rien quand vous l'ouvrez, merde à la fin !

*s'emporta Léodagan comme à son habitude.*

- Vous qui croyez tout savoir, partager donc votre science inépuisable et dites-moi ce que vous entendez par faire main mise, parce que là j'avoue que .... Non je vois vraiment pas ce que vous voulez dire ...

*avoua Léodagan, bien que cherchant une signification au 3ème degré, n'était pas plus éclairé.*

- Alors déjà, je voudrais dire que je parlerais meilleur quand ce régime totalitariste de la terreur cessera pour de bon ! Je ne cautionne pas votre façon de faire je tiens à ce que cela soit bien clair entre vous et moi !

* se lança dans une tirade passionnée Yvain *

- Parce qu'il me semble que menacer tout le monde de mourir brûlé vif, c'est un petit peu exagéré ! Au bout d'un moment, il faudrait voir à modérer vos ardeurs et à régler vos problèmes d'agressivité... Mais sachez pour votre information que faire main
mise ça veut dire que je me suis trop trompé quoi !

* conclut Yvain avant d'ajouter à voix basse *

- Trop nul quoi ! Pfff !

- Je ne voudrais pas interrompre ce moment de complicité familiale, mais si je peux me permettre, il me semble également qu'à force de vouloir cramer tout le monde dans toutes les pièces du chateau, il se peut qu'au final mon oncle se retrouve à la rue, et ça, je ne pourrais le supporter.

*se permit d'intervenir, hors de propos comme à son habitude, Gauvain, à qui l'on avait évidemment rien demander.*